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Jeudi soir, 22h15. Arrivé, enfin, à N’Zérékoré. 52 heures, jamais vu ça (cf. Transporipéties). Combien de fois me suis-je demandé "Qu’est-ce que je fous là ?" ou dit "C’est pas possible, on y arrivera jamais"? Je ne sais pas, je ne veux plus savoir.
Gare routière de N’Zérékoré, la nuit : pas de taxi. Un gars, à la sortie du notre, nous propose des lits pour la nuit. A
Pied de nez à toutes les merdes survenues ces deux derniers jours, un unique taxi, comme providentiel, m'attend à la sortie de la gare.